le chant des Sirènes: un chant inhumain… plus étrange était l’enchantement… Par un désespoir très proche du ravissement.
Le récit commence où le roman ne va pas.
Tout récit, ne fût-ce que par discrétion, cherche à se dissimuler dans l’épaisseur romanesque.
…le temps même du récit, le temps qui n’est pas hors du temps, mais qui s’éprouve comme dehors, sous la forme d’en espace, cet espace imaginaire où l’art trouve ses ressources.
La littérature n’est pas une simple tromperie, elle est le dangereux pouvoir d’aller vers ce qui est, par l’infinie multiplicité de l’imaginaire.
La littérature va vers elle-même, vers son essence qui est la disparition.