Bien sûr il y a les noms propres et les figures qui nous hantent…Et le bruissement du monde, les paroles du dehors.
Ce qui me touche surtout, ce sont les ponts, ces formes de métalepses non narratives, entre le monde et la langue : son futur intérieur, la petite avoue : les guillemets on les a mangés, le nom dont je parle n’est pas celui qu’ils donnent / le mien c’est du pare-adjectif. Ou comment le travail de la langue labourait le monde et réciproquement. Avec cette phrase : sans syntaxe pas de destin / mais pas non plus de catégories. La syntaxe, littéralement ce qui fait ordre ensemble; en grec moderne :la retraite. En tirant ce questionnement, cela peut se comprendre comme la mise en ordre d’un chaos à partir d’un point de vue en retrait.