La force des comme si et des participes présent au service d’une ouverture poétique du récit (voir Histoire, pp10-11). La possibilité de donner de l’effet au comme si par sa multiplication, son ampleur, ou le passage de l’ « objectif » au « subjectif » (on comprend la personnalité du personnage selon l’audace de l’image qu’il emploie).
Autre procédé : une sensation déclenche une image et avance avec de nombreuses incises et refus (pas…, pas…, non pas…, mais…) avec parenthèses et points-virgules (L’accacia pp98-99)