Une histoire de capture et d’affranchissement, de labyrinthe et d’issue de secours, de squelette et de libération.
Me vint un vouloir de briser
La très amoureuse prison
Qui souloit mon cœur débriser
(Le lai)
Et puis Le Testament. On comprend qu’il soit devenu objet de réécriture actuellement, avec ses formes répétitives (Combien…, Item…, Tant Que…, Je connois…) Puissance des images de mort, de chutes, de crânes…
Et ce quatrain pour finir :
Je suis François, dont il me poise,
Né de Paris emprès Pontoise
et de la corde d’une toise
Saura mon col que mon cul poise.